L’Atelier
dates séminaires d’écriture Fabrica
C’est ce que je fais qui m’apprend, après, ce que je cherche.
Pierre Soulages
Un compagnonnage, pour travailler ensemble, chacun sur son projet :
prose, essai, mémoire, thèse, poésie, théâtre, installation, spectacle, invention de formes, etc.
Les Fabrica sont en présence et/ou en visio selon le souhait des participants inscrits
Dates 2024-2025
- 23-25 septembre 2024
- 21-23 octobre 2024
- 25-27 novembre 2024
- 16-18 décembre 2024
- 01-03 janvier 2025
- 17-19 février 2025
- 17-19 mars 2025
- 14-16 avril 2025
- 13-15 mai 2025
- 16-18 juin 2025
- 11-13 juillet 2025
1er jour 14h – 17h
jours suivants 10h – 17h
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Pour s’inscrire
Coût 1 Fabrica : 230 €
Coût 4 Fabrica : 880 €
Coût 10 Fabrica : 2200 €
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A- Les ateliers d’écriture 1-2-3 sur la durée
B- Les ateliers d’écriture poétique
C- Les séminaires d’écriture Fabrica
D- Les stages d’écriture
Yoyo Maeght :
« A la fin de sa vie, Matisse découvre la richesse et la liberté de création qu’offrent ces morceaux de papier recouverts d’une couleur unique et dans lesquels il découpe à vif. C’est avec cette technique qu’il réalise quelques œuvres monumentales dignes des plus grandes compositions classiques.
« La Tristesse du roi » se réfère à une toile de Rembrandt, « David jouant de la harpe devant Saül », où le jeune héros biblique joue pour distraire le roi de sa mélancolie. Matisse superpose les thèmes de la vieillesse, du regard tourné vers « La Vie antérieure » (titre d’un poème de Baudelaire déjà illustré par l’artiste), de la musique qui apaise tous les maux.
Dans cet ultime autoportrait, le peintre se représente par cette forme noire, semblable à sa silhouette assise dans son fauteuil, entouré des plaisirs qui ont enrichi sa vie : les pétales jaunes qui s’envolent ont la gaîté des notes de musique, l’odalisque verte symbolise l’Orient, tandis qu’une danseuse rend hommage au corps de la femme.Henri Matisse, à Nice, avec « La Tristesse du Roi » en 1952.
Présenté au Salon de Mai en 1952, juste après son acquisition par l’État, le panneau est unanimement salué par la critique : « Le grand collage de Matisse, plus extraordinaire encore que son Jazz (c’est le même style), avec son rythme courbe sur fond d’horizontales, est le clou du Salon ; mieux : un chef-d’œuvre ; il est rare de rencontrer plus d’ampleur et de plénitude ; une leçon pour tous. » Dans : L’Art d’aujourd’hui, juin 1952. »
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NB